Saturday, September 30, 2006
Dana Wise, pilules
Friday, September 29, 2006
Stranded on Death Row
posté par NNMS @ 5:32 AM 0 comments
Trouvé via AEIOU, ce sympathique site de l'état du Texas recense les dernières paroles de tous les condamnés à mort depuis 1992.
Ce qu'ils racontent ? Beaucoup de bondieuseries sur le Christ Allah etc, sur la joie de mourir... Beaucoup de témoignages touchants sur leur innocence et le racisme du système judiciaire. Et beaucoup d'esprit de sérieux, ce qui est bien dommage. C'est bien sur délicat d'imaginer ce qu'on dirait dans ces conditions, mais quitte à prononcer une dernière phrase, autant que ce soit une bonne punchline non ?
Brian Roberson a plaidé coupable pour l'assassinat au couteau de son voisin de 79 ans. Lui au moins ne s'est pas laissé convaincre par le discours lénifiants des prêtres du Death Row :
Monty Delk a tué un homme pour lui voler sa voiture. On veut l'emmener sur la chaise ? Pas de chance, le gardien c'est lui. Classe. :
(Warden, ca veut dire gardien de prison. Gurney c'est un espèce de gros mot générique)
G.W. Green a buté un sale flic. Très philosophe, il conclut sa vie en ces termes :
Mais mon préféré, c'est James Collier. Ancien dealer, il a tué un couple au fusil de chasse. J'ai lu les 376 derniers mots sur le site, et je crois que c'est le seul qui a osé ironiser sur ses derniers moments. Respect pour toi, James.
Enfin... à moins qu'il ne fût PAS ironique ?
Trouvé via AEIOU, ce sympathique site de l'état du Texas recense les dernières paroles de tous les condamnés à mort depuis 1992.
Ce qu'ils racontent ? Beaucoup de bondieuseries sur le Christ Allah etc, sur la joie de mourir... Beaucoup de témoignages touchants sur leur innocence et le racisme du système judiciaire. Et beaucoup d'esprit de sérieux, ce qui est bien dommage. C'est bien sur délicat d'imaginer ce qu'on dirait dans ces conditions, mais quitte à prononcer une dernière phrase, autant que ce soit une bonne punchline non ?
Brian Roberson a plaidé coupable pour l'assassinat au couteau de son voisin de 79 ans. Lui au moins ne s'est pas laissé convaincre par le discours lénifiants des prêtres du Death Row :
To all of the racist white folks in America that hate black folks and to all of the black folks in America that hate themselves: the infamous words of my famous legendary brother, Matt Turner, "Y'all kiss my black ass." Let's do it.
Monty Delk a tué un homme pour lui voler sa voiture. On veut l'emmener sur la chaise ? Pas de chance, le gardien c'est lui. Classe. :
"I've got one thing to say, get your Warden off this gurney and shut up. I am from the island of Barbados. I am the Warden of this unit. People are seeing you do this."
(Warden, ca veut dire gardien de prison. Gurney c'est un espèce de gros mot générique)
G.W. Green a buté un sale flic. Très philosophe, il conclut sa vie en ces termes :
Let’s do it, man. Lock and load. Ain’t life a bitch ?
Mais mon préféré, c'est James Collier. Ancien dealer, il a tué un couple au fusil de chasse. J'ai lu les 376 derniers mots sur le site, et je crois que c'est le seul qui a osé ironiser sur ses derniers moments. Respect pour toi, James.
The only thing I want to say is that I appreciate the hospitality that you guys have shown me and the respect; and the last meal was really good. That is about it. Thank you guys for being there.
Enfin... à moins qu'il ne fût PAS ironique ?
Thursday, September 28, 2006
lu dans l'édito de thibaut de ruyter (art press 2 special berlin)
posté par badpetersal @ 3:00 AM 1 comments
" pour beaucoup, s'installer à berlin, désormais, c'est se donner les conditions de vie agréable avec une économie des plus étranges (....) cette mise en retrait de la pression économique imposée par le reste du monde est en passe de devenir un véritable mode de vie, plus que précaire mais terriblement sexy ".
" pour beaucoup, s'installer à berlin, désormais, c'est se donner les conditions de vie agréable avec une économie des plus étranges (....) cette mise en retrait de la pression économique imposée par le reste du monde est en passe de devenir un véritable mode de vie, plus que précaire mais terriblement sexy ".
Wednesday, September 27, 2006
si vous voyez pas le lien entre les 2...
posté par NNMS @ 3:17 PM 0 comments
Le 7 Novembre devrait marquer la sortie définitive de A Son Unique, l'album posthume de ODB.
Et le 6 novembre ? Le 6 Novembre c'est Ddamage qui sortent leur nouvel album Shimmy Shmmy Blade orienté hip-hop avec en featuring tout le microcosme rap indé (c'est marqué en petit mais c'est marqué en haut de la pochette)
et si vous ne voyez pas le rapport entre les 2, honte sur vous
Le 7 Novembre devrait marquer la sortie définitive de A Son Unique, l'album posthume de ODB.
Et le 6 novembre ? Le 6 Novembre c'est Ddamage qui sortent leur nouvel album Shimmy Shmmy Blade orienté hip-hop avec en featuring tout le microcosme rap indé (c'est marqué en petit mais c'est marqué en haut de la pochette)
et si vous ne voyez pas le rapport entre les 2, honte sur vous Tuesday, September 26, 2006
parabol customs
posté par badpetersal @ 7:14 AM 0 comments
Alors que canalsat lance "l'antenne satellite extra plate qui ne se voit pas"; l 'artiste Julien Celdran crée les "parabol customs". Avec l'accord des habitants d'une cité de Bourges, il fait transposer des motifs décoratifs( issus de tapis, de rideaux, de vaisselle, etc.) sur des antennes paraboliques.
lisez la description de son travail.
lisez la description de son travail.
alphaville - sounds like a melody
Sunday, September 24, 2006
hamptons party
Saturday, September 23, 2006
au bal masqué
posté par Cyril Vettorato @ 8:56 PM 0 comments
Party Pants propose de resplendissantes tenues de pimp customisables avec plein d'accessoires clinquants comme le top cinquante étincelant. Les choix des noms sont assez cool, mention spéciale au "Who's the daddy chunky medallion".
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Wednesday, September 20, 2006
La voix de son maître
posté par NNMS @ 5:19 AM 0 comments
Vous connaissez sans doute ce type de caméras de sécurité circulaires qu'on trouve dans les trois-quarts des villes européennes. Mais si vous regardez bien la photo, vous distinguerez en dessous des hauts-parleurs.
La ville de Teesside en Angleterre vient en effet d'implémenter ce nouveau système de "Talking CCTV". Désormais, si vous êtes pris en infraction sous l'Oeil de la caméra, une voix s'élevera dans l'air :
Vous connaissez sans doute ce type de caméras de sécurité circulaires qu'on trouve dans les trois-quarts des villes européennes. Mais si vous regardez bien la photo, vous distinguerez en dessous des hauts-parleurs.La ville de Teesside en Angleterre vient en effet d'implémenter ce nouveau système de "Talking CCTV". Désormais, si vous êtes pris en infraction sous l'Oeil de la caméra, une voix s'élevera dans l'air :
'Would the young man on the bike please get off and walk as he is riding in a pedestrian area'
L'idée vient du maire de Middlesbourough, Ray Mallon, surnommé Robocop. Le chef de la police locale se défend toutefois de porter atteinte aux citoyens : "Il semble que les contrevenants soient les seuls personnes à se plaindre des caméras. Nous formulons toujours poliment nos demandes, et si le contrevenant obtempère, l'opérateur lui dit "Merci"." Belle leçon de civisme !
[Source : Dailymail]
L'idée vient du maire de Middlesbourough, Ray Mallon, surnommé Robocop. Le chef de la police locale se défend toutefois de porter atteinte aux citoyens : "Il semble que les contrevenants soient les seuls personnes à se plaindre des caméras. Nous formulons toujours poliment nos demandes, et si le contrevenant obtempère, l'opérateur lui dit "Merci"." Belle leçon de civisme !
[Source : Dailymail]
Oh shit there's a horse in the hospital !
posté par NNMS @ 4:24 AM 0 comments
"CHICAGO (AFP) - Une jeune femme américaine équipée d'un bras bionique peut pour la première fois contrôler sa prothèse juste par la pensée et "sentir" son bras, la chaleur ou une poignée de mains.Claudia Mitchell, soldat dans les Marines, s'est fait opérér deux ans après avoir perdu son bras dans un accident de moto.
Son bras bionique est contrôlé par des nerfs qui ont été reroutés vers des muscles sains sur ses pectoraux. Cette nouvelle innervation de cette région du corps lui permet d'envoyer des signaux au bras robotique via des électrodes qui répondent aux impulsions de son cerveau..."
[via ibooblog]
Pendant ce temps, en Chine, la première greffe de pénis a été tentée. Le patient, un homme de 44 ans qui avait perdu la totalité de son membre viril dans un accident, s'en est vu greffer un nouveau, de la taille de 10 centimètres. D'après Weilie Hu, le chirurgien responsable, l'opération était un succès.
Mais la greffe a du être retirée deux semaine plus tard "en raison de graves problèmes psychologiques qu'elle induisait chez le patient et sa femme." C'est apparemment un problème récurrent lorsqu'on se fait transplanter un organe extérieur.
[Source : Guardian]
"CHICAGO (AFP) - Une jeune femme américaine équipée d'un bras bionique peut pour la première fois contrôler sa prothèse juste par la pensée et "sentir" son bras, la chaleur ou une poignée de mains.Claudia Mitchell, soldat dans les Marines, s'est fait opérér deux ans après avoir perdu son bras dans un accident de moto.
Son bras bionique est contrôlé par des nerfs qui ont été reroutés vers des muscles sains sur ses pectoraux. Cette nouvelle innervation de cette région du corps lui permet d'envoyer des signaux au bras robotique via des électrodes qui répondent aux impulsions de son cerveau..."
[via ibooblog]
Pendant ce temps, en Chine, la première greffe de pénis a été tentée. Le patient, un homme de 44 ans qui avait perdu la totalité de son membre viril dans un accident, s'en est vu greffer un nouveau, de la taille de 10 centimètres. D'après Weilie Hu, le chirurgien responsable, l'opération était un succès.
Mais la greffe a du être retirée deux semaine plus tard "en raison de graves problèmes psychologiques qu'elle induisait chez le patient et sa femme." C'est apparemment un problème récurrent lorsqu'on se fait transplanter un organe extérieur.
[Source : Guardian]
« l'équipe à sarko je la ferais bien tapiner »
Monday, September 18, 2006
« Deconstructing NYP » : lien du jour
street art
posté par NNMS @ 6:36 AM 0 comments
On n'a pas fait exprès, mais Weak Tactics est en train de devenir le fanblog de Shepard Fairey. Il faut dire que son actualité est chargée : mis à l'honneur dans les visites organisées de Conflux, il expose en même temps à Berlin et LA. Et puis, il vient de collaborer avec Banksy.
Car, oui, il ne s'agissait que de faire une transition vers la rétrospective Banksy qui a eu lieu
à LA le week-end dernier. Intitulée Barely Legal, elle consistait en 3 jours de vandalisme en toutes sortes dans un hangar désaffecté, dont le lieu n'a été révélé qu'au dernier moment. Et le mot vandalisme prend toute son ampleur - créative on s'entend - avec Banksy : on a pu y voir, entre autres, un éléphant vivant aux motifs de papier peint.
A voir aussi, l'installation de cafards dans le CD de Paris Hilton.
Le tout dans la pléthore de photos consultables sur cette page. Et aussi ici, ici, et ici.
On n'a pas fait exprès, mais Weak Tactics est en train de devenir le fanblog de Shepard Fairey. Il faut dire que son actualité est chargée : mis à l'honneur dans les visites organisées de Conflux, il expose en même temps à Berlin et LA. Et puis, il vient de collaborer avec Banksy.
Car, oui, il ne s'agissait que de faire une transition vers la rétrospective Banksy qui a eu lieu
à LA le week-end dernier. Intitulée Barely Legal, elle consistait en 3 jours de vandalisme en toutes sortes dans un hangar désaffecté, dont le lieu n'a été révélé qu'au dernier moment. Et le mot vandalisme prend toute son ampleur - créative on s'entend - avec Banksy : on a pu y voir, entre autres, un éléphant vivant aux motifs de papier peint.
(source : metroblogging LA)
Evidemment, il y a des stars bien-pensantes qui protestent.
Il y avait aussi un gros camion en plein milieu du happening
A voir aussi, l'installation de cafards dans le CD de Paris Hilton.Le tout dans la pléthore de photos consultables sur cette page. Et aussi ici, ici, et ici.
Sunday, September 17, 2006
cherchez l'intrus
posté par Cyril Vettorato @ 2:16 PM 0 comments
Bref, le spectacle est on ne peut plus familial et consensuel, quand soudain surgit le char de la radio rap New Yorkaise Hot 97... (suspense)
avec à son bord... (resuspense)...
JIM JONES!!! la gigahypramégastar actuelle du rap US, hosté par son pote DJ Mr Cee, se met à rapper devant les mémés médusées.
Cet après-midi, il n'y avait pas moyen de marcher peinard sur la 7ème avenue à Harlem. Elle avait été réquisitionnée pour la 37ème édition de l'African American Day Parade, sorte de défilé du quatorze juillet réservé à la communauté noire. L'évènement, poussiéreux à souhait, fait office de sortie du Dimanche pour les retraités du quartier et pour les familles. En gros, les fanfares des différentes écoles et institutions noires jouent de la musique de fanfare, tandis que défilent les ligues de vertu, les associations de défense de ceci ou cela, les aumôneries communautaires, les brigades de policiers noirs, les vétérans noirs...
Bref, le spectacle est on ne peut plus familial et consensuel, quand soudain surgit le char de la radio rap New Yorkaise Hot 97... (suspense)
avec à son bord... (resuspense)...JIM JONES!!! la gigahypramégastar actuelle du rap US, hosté par son pote DJ Mr Cee, se met à rapper devant les mémés médusées.
"We fly high, No Lie ,You know this
Foreign rides, outside, its like showbiz"
"I made the whip get naked
While I switch gears,
Bitch lookin at the bracelet
Step out,
show me what your all about
Flashbacks of last night
of me ballin out
And about 3 somethin
I was thinkin about grub
So I stumbled to the car,
threw the drinks and the drugs
The rap game like the crack game
Lifestyles, rich and famous
livin in the fast lane
So when I bleep shorty bleep back
Louis Vuitton Belt
where im keep
all the heat strapped
I beat the trial over rucker
All guns loaded
in the back motherfucker
You niggas need to stay focus
When your dealin with a motherfuckin G
You know my name, Jones, One Eye, Capo Status
Only above motherfucka
This Dipset ByrdGang We Born To Fly
Ya'll know the rules fall back or fall back
Someone tell my bitch summer I'm lookin for her
Ya dig, Another day another dollar
Fast life fucker..."
Etc etc, et le Dj d'enchaîner les dipsetteries généreuses en "crack" et en "biatch" peu dans le ton du défilé. Là, dans la foule, le choc des générations entre les papis et mamis branchés "Civil right Movement" et les jeunes qui bouncent est plus flagrant que jamais. Jim Jones s'en fout, il y a plein de biatches qui montent sur le char avec lui à la fin du défilé pour le prendre en photos avec leur téléphone portable, et ça, ça le fait délirer. Quand à moi, je crois qu'il ne me reste plus qu'à me reconvertir en paparazzi.
Saturday, September 16, 2006
Brooklyn sous les bombes
posté par Cyril Vettorato @ 3:55 PM 0 comments
Sous les termes intimidants de "psychogéographie contemporaine", le festival CONFLUX de Brooklyn cache en fait une série de performances artistiques liées à la façon dont chacun investit l'espace, et, surtout, très fortement participatives. Aujourd'hui par exemple, le public était invité par Jessica Thompson à arpenter les rues équipé de son Freestyle soundkit, une sorte de boîte à rythme portative reliée à des capteurs, eux-mêmes fixés sous les semelles de chaque participant. Le tout se terminant bien-sûr en numéro de claquettes collectif, dans lequel le troupeau fait de son mieux pour faire quelque chose ressemblant à un beat.
Sur cette oeuvre du célèbre Shepard Fairey, un esprit chagrin a taggé "Photoshop + Kinko's ain't art"
Sous les termes intimidants de "psychogéographie contemporaine", le festival CONFLUX de Brooklyn cache en fait une série de performances artistiques liées à la façon dont chacun investit l'espace, et, surtout, très fortement participatives. Aujourd'hui par exemple, le public était invité par Jessica Thompson à arpenter les rues équipé de son Freestyle soundkit, une sorte de boîte à rythme portative reliée à des capteurs, eux-mêmes fixés sous les semelles de chaque participant. Le tout se terminant bien-sûr en numéro de claquettes collectif, dans lequel le troupeau fait de son mieux pour faire quelque chose ressemblant à un beat.
Mais le meilleur moment de cette journée fut le Graffiti Walking Tour and Street Party, une ballade de deux heures au coeur de Brooklyn dans la foulée d'une bande de graffeurs de longue date. Menés par Jake Dopkin et un soundsystem hip hop tapageur, les participants ont pu découvrir les murs du quartier de façon très technique et anecdotique à la fois. Les principaux intervenants connaissent l'histoire du moindre graf, et pour cause : soit l'auteur est l'un d'entre eux, soit ils le connaissent personnellement. Du coup, leur discours nous fait vraiment rentrer dans l'histoire "street"de c
ette partie de la Grosse pomme, avec ses descentes de flics, ses squats, les coups d'éclats de certains graffeurs qui font monter le niveau d'un cran... Les petites histoires liées à chaque tag rendent la visite vivante, tandis que les remarques techniques permettent de saisir les difficultés ou les astuces propres à chacun. "Jay", mégaphone à la main, mène les curieux dans les endroits les plus cachés, avec un style de vieux baroudeur du sweat à capuche.
ette partie de la Grosse pomme, avec ses descentes de flics, ses squats, les coups d'éclats de certains graffeurs qui font monter le niveau d'un cran... Les petites histoires liées à chaque tag rendent la visite vivante, tandis que les remarques techniques permettent de saisir les difficultés ou les astuces propres à chacun. "Jay", mégaphone à la main, mène les curieux dans les endroits les plus cachés, avec un style de vieux baroudeur du sweat à capuche.
Sur cette oeuvre du célèbre Shepard Fairey, un esprit chagrin a taggé "Photoshop + Kinko's ain't art"
Ce que ce jeune beatnik à lunettes est probablement en train d'expliquer à la blondinette qui s'entortille les bouclettes, dans l'espoir d'un improbable flirt, est que ce graff, situé au croisement de Bedford ave et South 4th, est l'une des rares oeuvres autorisées du quartier, et qu'il s'agit d'une allégorie des dégâts causés par l'industrie du tabac.
La même chose de plus près.
Voilà, la visite est finie mais il reste une journée de festival - avec des choses sans doute intéressantes, mais rien d'aussi hip hop friendly. Allez, je vais me réécouter "Art de rue"de la Fonky Family pour l'occasion. Non, je déconne.
La même chose de plus près.
Voilà, la visite est finie mais il reste une journée de festival - avec des choses sans doute intéressantes, mais rien d'aussi hip hop friendly. Allez, je vais me réécouter "Art de rue"de la Fonky Family pour l'occasion. Non, je déconne.
